Après-midi musicale à la ferme : samedi 12 juin
à Plougrescant
Entrée prix libre. Sans réservation.
- 14h30 accueil sur le site
- 15h Sieste sonore, musique concrète de plein champ
- 16h Trio musique improvisée Stéphane Payen, Frédéric BBriet, Gildas Etevenard (saxophone, contrebasse, percussions)
- 17h Spectacle LAPS, poème de cendre et de bruit
La Sieste sonore consiste en la diffusion et la manipulation en temps réel de quelques échantillons sonores enregistrés sur le site dans les heures précédentes. Le lien fort entre les prises de son et l’environnement naturel du lieu pendant le concert permet un tissage délicat entre les sons du réels et la diffusion de matériaux électroacoustiques. Cette articulation propose le cisellement d’un paysage sonore et musical qui guide l’auditoire vers l’attention fine, le détail et la rêverie. Comme une couche de musique imaginaire, comme un ajout rythmique à la musique du monde, La Sieste est une invitation à l’abandon, à la rêverie et au voyage.
N’hésitez pas à venir avec votre pliant ou tapis de sieste. Pensez aussi à un chapeau et de la crème solaire. Il va faire beau à Plougrescant samedi !
Trio musiques improvisées
Après avoir tourné trois fois autour du monde, puis trois fois sur eux-mêmes, ils se retrouvent dans le même cercle vivant du trio, pour partager leurs musiques et inviter les poètes.
Poème de cendre et de bruit (à partir de 8 ans)
LAPS est un spectacle circulaire pour la place publique, situé quelque part entre le jonglage, la danse et le son. Au creux d’un imaginaire paysan fantasmé, on découvre deux personnages, deux entités en tension, deux pôles qui jouent et rejouent nos fascinations. Deux fous qui s’essoufflent, deux enfants qui se battent, deux sorciers qui parlent aux ronces et aux corbeaux. LAPS est un poème qui tente de parler dans sa langue d’un endroit commun laissé derrière nous. C’est le monde des choses, des bêtes, des hommes et des paysages. C’est le monde des choses, des bêtes, des hommes et des paysages. C’est le monde de peurs, des forces et des joies, des répulsions et des attirances. C’est la nécessité de faire le poème par la sueur, la voix, le feu et le temps.