Le Cabaret Marathon Novembre 2015 Reportage lors de la deuxième soirée d’inauguration du Logelloù. photos : Anne Baraquin/Logelloù/SOFAM Le programme du Cabaret Marathon. A l’affiche, plus de 40 participants. La fréquence de Radio Ploutsch est en place. Vers 17h, les premiers instruments font leur apparition en loges. Les premiers participants commencent les échauffements, étirements, dernières répétitions… …pendant que le public entre dans la salle. Un premier concert de 7 minutes ouvre la soirée marathon, du théâtre, des marionnettes, du beat box, des jeux de mots, de la podorythmie. Le récit de vie de Thomas, résistant, clôt la première session. Le public est invité à quitter la salle pour se restaurer et boire un verre. En revenant pour la deuxième session, il découvre Hervé Blutch de Radio Ploutsch, live painting et préludes de Bach à la clarinette, Anne, luthière, accompagnée au violon. En coulisses, les nouveaux participants arrivent et se croisent. Dans la salle, le public souhaite, en chantant, son 80ème anniversaire à Edy, venue témoigner de son passé de professeure de danse contemporaine. Tout à coup, ça se passe dans la salle de bains, un drôle… …très drôle collectage. A 21h20, hommage est rendu aux victimes des attentats du 13 novembre, 7 minutes de silence 2ème apparition de Radio Ploutsch, retournemement de public, de la danse en musique En loges, il y a de plus en plus de monde mais l’ambiance y est ! Les instruments de toutes sortes se côtoient. Un “voasin” est venu , en sabots. Ecoute de field recording avec Marius. Un trio aux grands chaussettes propose une révolution poético… …écologique… …très suivie. Mais le rock reprend le dessus. Dernier retournement de public, encore nombreux tard dans la nuit. De nouveaux instruments font leur apparition, ce qui crée de nouvelles rencontres de musiciens en loges. Des images à ne pas regarder sont proposées par un jeune philosophe. S’ensuivent quelques jeux psychologiques. Toute la soirée est mise en boîte, un accordéon diatonique, suivi d’un accordéon chromatique, pour terminer le marathon. A en croire le sourire d’Hervé Blutsch, c’était une bonne soirée !